đŽLa culture japonaise est remarquablement diffĂ©rente de celle Ă laquelle nous sommes habituĂ©s, europĂ©enne ou occidentale. Les diffĂ©rences concernent des questions aussi importantes que la moralitĂ©, la dignitĂ© et la mort.â ïž Les diffĂ©rences sont particuliĂšrement nettes dans les attitudes Ă lâĂ©gard du suicide.
Les EuropĂ©ens ont longtemps considĂ©rĂ© le suicide comme un pĂ©chĂ© comme Ă©tant un acte indigne, tandis que les Japonais en ont fait un rituel possible et parfois nĂ©cessaire pour une personne honnĂȘte.đ
đLe concept dâhonneur au sein de lâaristocratie japonaise repose sur deux doctrines importantes:
- đMourez pour votre maĂźtre.đ
- âSauvez votre visage (image) et la rĂ©putation de votre famille devant ceux qui vous entourent.đšâđ©âđ§
Le Seppuku est lâopportunitĂ© de montrer la fermetĂ© de lâesprit et la puretĂ© des pensĂ©es par un suicide rituel. Dans lâancien Japon, les guerriers avaient recours Ă lâauto-immolation ou Ă la pendaison. Ce nâest quâĂ partir de 1156 que le rite de «dĂ©chirer lâestomac» commença Ă ĂȘtre popularisĂ© au Japon. Daimyo Minamoto no Tamemoto fut le premier Ă commettre un Seppuku pour Ă©viter dâĂȘtre capturĂ© dans une guerre de clan brutale.
- Histoire de Seppuku
- DĂ©finition et signification du terme Seppuku
- Comment se faire Seppuku ?
- Quelle arme pour se faire Hara Kiri ?
- Peut-on survivre dâun Seppuku ?
- Différence entre Seppuku et Harakiri.
- Qui a inventé le Hara Kiri ?
LâHISTOIRE DE SEPPUKU:
đđDans lâancien pays du soleil-levant, le rituel Seppuku nâĂ©tait pas courant. Il est devenu populaire au Moyen Ăge. En 1156, le daimyo de Minamoto a exĂ©cutĂ© le premier hara-kiri de lâhistoire. Il a fait cela pour Ă©viter la captivitĂ©, car ĂȘtre capturĂ© Ă©tait considĂ©rĂ© comme une honte.đââïžđ€ Depuis lors, de nombreux militaires ont commencĂ© Ă utiliser ce rite dans des situations critiques. Puis, au fil du temps, le Seppuku a commencĂ© Ă ĂȘtre massivement utilisĂ© pour quelque raison que ce soit. Mais avec lâavĂšnement des rĂ©formes au cours de la pĂ©riode Meiji, de tels suicides ont Ă©tĂ© officiellement censurĂ©s et, en 1968, le rite a Ă©tĂ© interdit au niveau lĂ©gislatif. Mais dans la culture japonaise, le seppuku a toujours une place importante.đđ
DEFINITION ET SIGNIFICATION DU TERME SEPPUKU:
âTout le monde sait que le seppuku ou hara-kiri est le suicide rituel dâun samouraĂŻ. Mais vous ĂȘtes-vous tous dĂ©jĂ demandĂ© quelle Ă©tait la signification du seppuku et pourquoi les samouraĂŻs, dans lâensemble, sont morts de cette maniĂšre?đ€ DĂ©couvrons-le !Â
Dâabord, Il est judicieux de tenir compte lâaspect mĂ©taphysique des croyances des japonais, ces derniers croyaient que lâesprit humain â tama est influencĂ© par de bonnes actions positives, qui sont caractĂ©risĂ©es par le concept de sayake et des actions nĂ©gatives et malhonnĂȘtes, sont caractĂ©risĂ©es par le concept de kagare.đŽđč
Le SamouraĂŻ vivant selon le code « Bushido » et celui qui observe tous les prĂ©ceptes du code et accomplit de nobles actions afin de vivre en harmonie avec sayake, par contre un samouraĂŻ violant le code et commettant des actes vicieux invoque lâĂ©nergie sombre et nĂ©gative du Kagare.đč
Un samouraĂŻ qui commettait trop dâactes vicieux souillait par consĂ©quent son honneur et son Ăąme, la punition Ă©tait donc de commettre un Seppuku afin de ne pas souiller un esprit pur et immaculĂ© en le portant dans un « vase sale », c.-Ă -d. dans un corps souillĂ©. ( Non Honorable )
1- Pourquoi, en commettant un Seppuku, le samouraĂŻ sâouvre lâestomac ?
Le fait est que, selon les Japonais, câest lâestomac qui est le rĂ©ceptacle de lâĂąme humaine. BasĂ© sur la philosophie du bouddhisme zen, câĂ©tait lâestomac qui contenait lâĂąme, car câĂ©tait le milieu par rapport au corps.
De nombreux Dictons sont Ă connaĂźtre :
- Haradatsu : « marcher le ventre surĂ©levé » â « en colĂšre »,
- Hara kitanai : « ventre sale » â « faibles aspirations »,
- Hara-no kuroi hito: « un homme au ventre noir » â « un homme Ă lâĂąme noire « ,
- Hara-no nai hito :  » un homme sans ventre « â » une personne sans esprit. «Â
DIFFERENTS TYPES DE SEPPUKU:
Au dĂ©but, il faut dire quâil y avait deux principaux types de Seppuku:Â
- Un Seppuku avec KaishaKunin
- Un Seppuku Sans KaishaKunin
âKaishaKunin est un rituel consistant Ă couper la tĂȘte du Samourai effectuant un seppuku afin dâĂ©viter la torture, ainsi que lâassistant lui-mĂȘme qui lâa fait. Le KaishaKunin nâĂ©tait autorisĂ© que dans le cas oĂč le samouraĂŻ faisait du seppuku pour effacer la honte.đ
Dans le cas oĂč le samouraĂŻ exĂ©cutait un seppuku pour expier une culpabilitĂ© grave (par exemple, lorsquâil tuait un noble de haut rang ou insultait la femme du maĂźtre, etc.), le KaishaKunin nâĂ©tait pas autorisĂ© et le samouraĂŻ Ă©tait obligĂ© de commettre un Seppuku lui-mĂȘme et dâendurer le tourment insupportable.
AprĂšs tout, le Seppuku pourrait ĂȘtre complet et incomplet.
- Le Seppuku complet: est un seppuku dans lequel deux incisions sont pratiquĂ©es: dâabord horizontalement du cĂŽtĂ© gauche vers la droite, puis verticalement du diaphragme au nombril.đ
- Le Seppuku incomplet : seule une incision est pratiquĂ©e du cĂŽtĂ© gauche vers la droite. Si le seppuku Ă©tait pratiquĂ© avec un KaishaKunin, alors une injection au centre de lâabdomen suffisait, immĂ©diatement aprĂšs cela, la tĂȘte Ă©tait coupĂ©e, mais je dois dire que celui qui commettait le seppuku donnait gĂ©nĂ©ralement le signal de couper sa tĂȘte.đ
COMMENT SE FAIRE SEPPUKU ?
Dâabord, il faut se mettre dâaccord sur une condition, le Seppuku est rĂ©alisĂ© avec une Ă©pĂ©e spĂ©ciale nommĂ©e Wakizashi et non pas avec nâimporte quel couteau perdu dans LaâŠ
1 â Les Etapes du Rituel Seppuku:
Le suicide sâeffectuait nĂ©cessairement aprĂšs le lavage rituel des mains, de la bouche et des narines, ainsi que le lavage rituel de la lame elle-mĂȘme. AprĂšs cela, Le SamouraĂŻ a le choix entre, mĂ©diter pendant une courte pĂ©riode, soit composer le dernier couplet â Jisei No Ku â une chanson dâadieu au monde.đș
Et maintenant, le moment est venu pour le Seppukuđ â le samouraĂŻ prends la lame de lâĂ©pĂ©e, lâenrouler autour du bord et la diriger vers lâestomac, puis, en expirant, il la pousse dans son bas-ventre, gĂ©nĂ©ralement sous le nombril, avec un mouvement brusque lâenfonce dans son ventre.đđș
Câest Ă ce moment que la lutte de lâesprit sur le corps humain commence. ExpĂ©rimentant un tourment infernal, le samouraĂŻ, surmontant le choc, conduit la lame sur son cĂŽtĂ© droit. Peu de gens parvenaient Ă la fin, sâil sâagissait de seppuku avec KaishaKunin, lâassistant lui coupait gĂ©nĂ©ralement la tĂȘte.đâđș
âïžSauf que La tĂȘte devait ĂȘtre coupĂ©e par vĂ©ritable maĂźtre Ă©pĂ©iste, car la rĂšgle Ă©tait de couper la tĂȘte de maniĂšre Ă ce quâelle soit suspendue Ă un mince lambeau de peau.â ïž
Il nâĂ©tait pas permis que la tĂȘte rebondisse ou tombe et roule, câest-Ă -dire quâil fallait un coup trĂšs mesurĂ©, net, pas trop faible, mais pas trop fort. Si la tĂȘte tombait encore, ce seppuku Ă©tait considĂ©rĂ© comme profanĂ©, ainsi que le corps lui-mĂȘme. LâidĂ©e Ă©tait de garder La personne dans son Ă©tat de samouraĂŻ jusquâĂ la derniĂšre seconde de sa vie, les samouraĂŻs Ă©taient une Ă©lite militaire, ils Ă©taient une aristocratie militaire ! Par consĂ©quent, les dĂ©capiter en tant que criminels nâĂ©tait pas autorisĂ© !đ„
Le moment du KaishaKunin est le moment le plus dĂ©licat et le plus important du seppuku !đŽ
Une fois que le samouraĂŻ et son assistant ont terminĂ© le rituel, il incombe Ă lâassistant de drainer lâexcĂšs de sang de la blessure au cou et Ă lâestomac, de prendre la tĂȘte et de la placer sur le corps de maniĂšre Ă ce que la blessure au cou ne ressorte pas trop, câest-Ă -dire que de lâextĂ©rieur, on puisse penser que la personne est simplement allongĂ©e.đș
Enfin, lâassistant essuyait lâexcĂšs de sang, nettoyait la piĂšce et plaçait des piĂšces de monnaie sur les yeux du cadavre. AprĂšs cela, il devait tout rapporter aux autoritĂ©s locales et au seigneur samouraĂŻ, ainsi que transmettre ses derniĂšres volontĂ©s.đŽ
Câest ainsi que certains des plus grands guerriers du monde sont morts ! Comme vous pouvez le constater, le rituel du seppuku nâest pas si simple ! Rien nâest facile au Japon, câest ce quâest le Japon !đșâđș
QUELLE ARME POUR SE FAIRE HARA-KIRI ?
Lâabdomen a Ă©tĂ© ouvert avec un poignard spĂ©cial pour Hara-kiri â Kusungobu, qui avait une longueur dâenviron 25 cm et Ă©tait considĂ©rĂ© comme un hĂ©ritage, qui Ă©tait gĂ©nĂ©ralement conservĂ© dans un Tokonoma sur un support pour une Ă©pĂ©e, ou Wakizashi â une petite Ă©pĂ©e de samouraĂŻ.đĄ
En lâabsence dâun outil spĂ©cial pour effectuer le Seppuku, qui Ă©tait extrĂȘmement rare chez les samouraĂŻs, une grande Ă©pĂ©e pouvait Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©e, qui Ă©tait prise Ă la main par la lame enveloppĂ©e dans un tissu pour la commoditĂ© de lâopĂ©ration en cours. Parfois, la lame dâune petite Ă©pĂ©e Ă©tait enveloppĂ©e dans du tissu ou du papier de telle sorte que 10 Ă 12 cm de la surface de coupe restaient libres. Dans ce cas, le poignard Ă©tait dĂ©jĂ pris par le manche, et par le milieu de la lame.đșâđș
Une profondeur similaire de la coupe Ă©tait nĂ©cessaire pour ne pas toucher la colonne vertĂ©brale, ce qui pourrait ĂȘtre un obstacle Ă la poursuite du dĂ©roulement du rituel. En mĂȘme temps, selon les rĂšgles du Seppuku, il fallait surveiller la lame, qui pouvait passer trop superficiellement, ne coupant que les muscles abdominaux, ce qui ne pouvait plus ĂȘtre fatal.đŽ
PEUT-ON SURVIVRE DâUN SEPPUKU ?
Le Seppuku est effectuĂ© devant de nombreux tĂ©moins. De plus, un KaishaKunin sâest tenu au-dessus du suicide â un guerrier qui, aprĂšs le Seppuku, Ă pour seule mission de sâassurer que le rituel est sâest bien dĂ©roulĂ©, ainsi de couper la tĂȘte du samouraĂŻ pour que personne ne puisse voir le visage de lâhomme assassinĂ©, dĂ©formĂ© par la douleur intense qui a subis durant le Rituel.
đ„Donc au delĂ du suicide commis par le samourai lui mĂȘme, il yâa lâautre guerrier debout, motivĂ© par la foi et sa croyance, intimement convaincu quâil fait son devoir de couper de façon efficace la tete du Samourai ! Les chances de survis sont quasiment inexistantes !đ
Le rĂŽle du KaishaKunin est trĂšs important. Il fallait combiner la compassion (car le plus souvent le KaishaKunin est un ami proche de lâinterprĂšte de Seppuku, car il savait quâil ne le ferait pas souffrir pendant longtemps) avec la bonne technique et la force pour lui couper la tĂȘte dâun seul coup.đžđđž
LA DIFFERENCE ENTRE SEPPUKU ET HARAKIRI:
đđŽLa diffĂ©rence entre Hara-Kiri et Seppuku rĂ©side dans leur Ă©criture et leur lecture. Les mots eux-mĂȘmes se composent de deux hiĂ©roglyphes identiques «dĂ©chirer» et «ventre». Seule lâĂ©criture Harakiri (è č ć ă) met «ventre» en premier lieu en utilisant la lecture japonaise «kunny», et lâĂ©criture Seppuku (ćè č) commence par le mot «cut» et se lit «onny» en lecture sino-japonaise.đ
On pense que le Hara-kiri se trouve dans le discours familier, tandis que le Seppuku est plus souvent vu dans les documents officiels. En fait, les Japonais eux-mĂȘmes utilisent les deux termes comme synonymes de la mĂȘme action rituelle.đ
đŽMais nĂ©anmoins, de nombreux fans du Japon et de sa culture posent souvent la question de diffĂ©rence entre Hara-kiri et Seppuku. Il sâagit de comprendre le fond de la question du point de vue globale, en tenant compte de la diversitĂ© des cultures hors japon et leur complexitĂ© car en effet, le mot «Hara-Kiri» est surtout connu en Europe, et donc il est familier Ă une personne ordinaire, 70% des EuropĂ©ens connaissent le sens de ce mot, tant dit que 20% lâont dĂ©jĂ entendu, mais ne lâutilisent pas dans le discours, et les 10% restants ne jugent pas nĂ©cessaire de se plonger dans la culture dâun autre pays.đŽ
đEn fait, il nây a aucune diffĂ©rence entre ces deux termes, sauf dans la prononciation et lâutilisation. Les deux hara-kiri et seppuku dĂ©notent « suicide rituel », mĂȘme par Ă©crit, ils sont dĂ©notĂ©s de la mĂȘme maniĂšre, seul le premier a dâabord un symbole du ventre, et seulement ensuite le verbe « couper », dans seppuku câest vice versa.Â
Il faut noter que les Japonais considĂšrent toujours le mot « hara-kiri » comme presque abusif, pĂ©joratif et vernaculaire, et ne lâutilisent donc pas. De plus, dans lâAntiquitĂ©, ce soi-disant mot «hara-kiri» Ă©tait utilisĂ© pour dĂ©crire un suicide qui ne se produisait pas selon les rĂšgles du code chevaleresque, câest-Ă -dire sans le respecter. Le vrai Seppuku Ă©tait soigneusement prĂ©parĂ© et semblait presque une reprĂ©sentation thĂ©Ăątrale terrible.đđđž
QUI A INVENTĂÂ LE HARA-KIRI ?
Le rite suicide traditionnel des samouraĂŻs japonais du harakiri (seppuku) est dâorigine non japonaise. Les Japonais lâont empruntĂ© Ă la population indigĂšne de Hokkaido, Sakhaline et Kuril â Ainu.đ„
Le Hara-kiri est apparu pour la premiĂšre fois pendant la guerre de Genpei dans la seconde moitiĂ© du 12Ăšme siĂšcle et sâest rĂ©pandu parmi les samouraĂŻs. Fait intĂ©ressant, les anciens Ainu se considĂ©raient comme les seuls vrais guerriers, et les Japonais Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des «colporteurs». Les Japonais, Ă leur tour, appelaient les Ainu «barbares barbus».
CONCLUSION
đș Tout le monde rejoins lâidĂ©e selon laquelle, Lâhistoire du Japon est lâune des plus fascinantes au mondeđș
Le pays du soleil levant est unique, de part son paysage naturel comme son passé, ce pays a su rester unique aux yeux des communs des mortels.
đ„ Le Japon FĂ©odal a connu plusieurs guerres marquĂ©es par des pĂ©riodes de crises qui ont durĂ©es des dĂ©cennies. Des Champ-de-batailles ensanglantĂ©s et si controversĂ©s dans lesquels lâart de dĂ©gainer le Sabre Ă©tait propre aux Grands Samourai Japonais munis de leur armures blindĂ©es !
Le Seppuku ou Hara-Kiri reste parmi les pratiques guerriĂšres les plus critiquĂ©es vu la fin tragique quâelle en rĂ©sulte !đ„ đ  Mais chez les Samourai, ayant grandis dans une optique de Sacrifice, de loyautĂ©, et de dĂ©vouement inconditionnel Ă la pratique du Code de lâhonneur, le Seppuku est une liberation, une preuve dâamour Ă une culture millĂ©naire, et aussi une expiation dâun « pĂ©ché » !
đ đŽÂ  Rester fidĂšle en affichant sa noblesse envers son chef spirituel est une tĂąche lourde, par contre le Samourai nâĂ©tait pas reconnu comme un esclave de son chef ! Bien au contraire, le Chef spirituel lui renvoyait lâadmiration ainsi que le respect et la reconnaissance quâil mĂ©ritait en le dĂ©corant de lĂ©gion dâhonneur Ă chaque succĂšs de bataille, de mission.đ đŽ
đ  Pour un Samourai, Se donner la mort est une forme dâamour et de respect fortifiĂ©s par la tradition guerriĂšre qui est intimement liĂ©e Ă la composition de la sociĂ©tĂ© Japonaise de lâĂ©poque, ce geste qui peut semblait un reflet de cruautĂ© est en effet une pratique qui a nourri les Contes Japonais et lâimagination de plusieurs scĂ©naristes de renommĂ©e internationale.đ
Lâhistoire des 47 Ronins est lâune des histoires les plus fascinantes du monde, on traitera ce sujet dans un prochain article de Blog bien spĂ©cifique et dĂ©taillĂ© car je ne veux pas simplement rĂ©duire cette histoire incroyable a un seul fait : Des Hommes avaient dĂ©cidĂ© de se suicider SimultanĂ©ment !
Non ! Lâhistoire est beaucoup plus compliquĂ©e que cela et nĂ©cessite donc un article complet.